102 | | Dans le cas d'une decription structurelle, il faut disposer des modèles comportementaux des |
103 | | blocs instanciés. Mais comme nous le verrons dans le TP3, certains blocs instanciés (par exemple le bloc '''adder''') peuvent être eux-mêmes décrits de façon structurelle, et le nombre de niveaux de décomposition peut être quelconque. Il faut donc indiquer au simulateur quels sont les blocs "terminaux", pour lesquels il peut et doit utiliser une description comportementale. |
| 103 | Dans le cas d'une description structurelle, certains blocs instanciés peuvent être eux-mêmes décrits de façon structurelle. |
| 104 | On parle alors de description hiérarchique "multi-niveaux", et le nombre de niveaux peut être quelconque. Il faut donc indiquer |
| 105 | au simulateur quels sont les blocs "terminaux", pour lesquels il existe une description comportementale. |
| 106 | Le simulateur '''asimut''' trouve cette information dans le fichier ''CATAL''. |
| 107 | Ce fichier est un fichier texte contenant les noms des blocs terminaux (un composant par ligne), suivi de la lettre C : |
| 108 | {{{ |
| 109 | adder C |
| 110 | accu C |
| 111 | mux C |
| 112 | }}} |
| 116 | Vous pouvez maintenant appliquer sur cette description structurelle les stimuli définis dans la partie A : |
| 117 | {{{ |
| 118 | >asimut -zd addaccu new_stimuli new_result |
| 119 | }}} |
| 120 | |
| 121 | L'option -zd force le simulateur à fonctionner en mode zero-delay, ce qui signifie que toutes |
| 122 | les informations temporelles contenues dans les constructions AFTER sont ignorées. |
| 123 | |
| 124 | L'absence de l'option -b indique au simulateur qu'il s'agit d'une description structurelle, |
| 125 | et qu'il doit utiliser le fichier CATAL. |
| 126 | |
| 127 | Vous devez obtenir les mêmes résultats de simulation que dans la partie "simulation zero-delay" du TP1. |